POUR LES PERSONNES CURIEUSES, J’AI DEVELOPPE QUELQUES SUJETS EN LIEN AVEC LA GEOBIOLOGIE. Les thèmes abordés apportent une meilleure compréhension du monde SUBTIL : rayonnements, énergies, fréquences, vibrations…
L’ELECTROHYPERSENSIBILITE
Aujourd’hui, 5% de la population est concernée par l’électrohypersensibilité, 2 personnes sur 3 sont des femmes. Cette pathologie concernait auparavant les métiers en lien avec l’informatique et l’électronique. A l’heure actuelle, toutes les catégories socio-professionnelles sont représentées, conséquence de l’informatisation et de la progression du sans fil sur nos lieux de travail et de vie.
De quoi s’agit-il? Il faut distinguer l’électrosensibilité normale, due à une exposition à certaines gammes de fréquence, à des puissances anormalement élevées et l’électrohypersensibilité maladive. Les personnes électrohypersensibles souffrent de symptômes provoqués ou aggravés par les expositions aux ondes, c’est une allergie aux ondes. Les électrohypersensibles souffrent de maux de tête, de troubles du sommeil, de fatigue, de troubles de l’attention, de problèmes dermatologiques, de sensibilité cutanée (paralysie, fourmillements), de vertiges, de troubles de la mémoire, d’irritabilité, d’arythmie cardiaque, de troubles digestifs, de tendance à l’isolement et de tendance à la dépression liée à la fatigue et à l’incompréhension de l’entourage et de la société. L’Electrohypersensibilité est reconnue comme une maladie à part entière en France depuis 2018 par l’ANSES; comme un handicap fonctionnel en Suède depuis 2000.
Comment devient-on électrohypersensible? Selon les personnes, le point de bascule entre le fonctionnement normal du corps et le pathologie dépend de l’effet de dose. Avec les années, quand le corps a atteint sa limite, qu’il est saturé, il n’est plus capable de s’autoréguler. Les symptômes peuvent aussi apparaître brutalement avec l’arrivée d’une nouvelle source de rayonnement (arrivée du wifi sur le lieu de travail, installation d’une antenne relais de téléphonie à proximité du domicile). Troisième possibilité, la pathologie peut se déclarer sur une personne déjà affaiblie par la maladie.
Pourquoi? Le cerveau soumis aux champs électromagnétiques (CEM) artificiels déclenchent des réponses au stress qui mettent en route une chaîne de réactions nerveuses, endocriniennes et métaboliques. Face à un stress, à un moment donnée, le corps sait rétablir l’équilibre de l’organisme. Or, avec les ondes électromagnétiques, l’agression est multiple, profonde, répétitive ou permanente : l’organisme est dépassé, l’épuisement est atteint, on observe une dérégulation de l’ensemble du système immunitaire et l’apparition de la pathologie.
Quelles sont les solutions? La plupart des symptômes sont réversibles à condition de se mettre à l’abri de toute source de rayonnement. Les personnes électrohypersensibles essaient dans un premier temps d’aménager leur environnement (travail, logement) pour se protéger. Si le résultat est insuffisant, elles sont amené à s’isoler dans des « zones blanches« , peu nombreuses, exemptes de tout champ électromagnétique. Nous pouvons tous être acteurs et aider ces personnes en privilégiant les appareils et les fonctionnements en filaire. Nous pouvons aussi changer nos pratiques individuelles et revoir notre addiction au téléphone portable. Si vous êtes électrohypersensibles, voici des associations qui peuvent vous soutenir :
Une terre pour les EHS www.uneterrepourlesehs.org
Robin des Toits www.robindestoits.org
Association Zones Blanches http://asso-zonesblanches.org
EARTHING
Earthing, encore appellé grounding, ou mise à la Terre. Autrefois, l’homme était en contact permanent avec la Terre, nous marchions pieds nus et dormions à même le sol. On redécouvre que cette pratique de connexion à la Terre est bénéfique pour l’organisme. Pourquoi?
– Il se produit un phénomène naturel de décharge électrostatique généré par le contact du pied nu contre la Terre. Les charges électriques accumulées au contact des champs électromagnétiques artificiels retournent à la Terre et nous retrouvons un équilibre électrique,
– Simultanément, nous collectons les électrons du soleil présents à la surface de la Terre simplement en marchant pieds nus en extérieur. Ces électrons sont indispensables pour la synthèse d’ATP (Adénosine TriPhosphate) dans nos mitochondries, c’est la molécule d’énergie de notre corps. Les électrons fluidifient le sang, améliorent la tension et le flux sanguin en recouvrant les globules rouges pour qu’ils se repoussent et ne puissent s’agglutiner. Enfin, ils ont un rôle d’antioxydants qui neutralisent les radicaux libres responsables de l’inflammation et du stress oxydatif.
– Se reconnecter à la Terre permet aussi de réinitialiser nos rythmes biologiques et saisonniers en les synchronisant avec les fréquences et les rythmes de la Terre.
– Sur un plan spirituel, le Earthing vous attire vers vous-même, vers ce que vous êtes.
Pour résumer, le Earthing permet de réduire l’inflammation silencieuse ou visible à l’origine de nombreuses maladies, l’insomnie, les douleurs chroniques, le stress, le vieillissement prématuré et stimule notre énergie et notre système immunitaire.
Nous pouvons nous reconnecter à la Terre :
– en marchant pieds nus dehors ( minimum 15 minutes par jour) ou à la maison sur des sols conducteurs ( carrelages, parquets bois non vernis )
– en portant des chaussures à semelle conductrice
– en utilisant des dispositifs Earthing qui mettent le corps en contact avec la Terre par l’intermédiaire de matériaux conducteurs : tapis, draps, bracelets,…
LA RADIOACTIVITE
La radioactivité fut découverte sur l’uranium en 1896 par Henri Becquerel, puis confirmée par Marie Curie à la même époque sur le radium.
C’est un phénomène physique naturel au cours duquel des noyaux atomiques instables, appelés radio-isotopes se transforment spontanément par désintégration en dégageant de l’énergie. En libérant cette énergie sous forme de rayonnements divers (rayons alpha α, bêta β ou gamma γ), ces noyaux perdent une partie de leur masse et deviennent alors des noyaux plus légers portant un autre nom. Ainsi l’Uranium 236 devient le Radium 228. La cascade de désintégration naturelle de l’uranium s’arrête au plomb :
Uranium 236→Radium 228→Actinium 228→
Thorium 228→Radium 224→Radon 222→
Polonium 216→Plomb 212→
Bismuth 212→Polonium212→Plomb 208, 207 ou 206
Sous la croûte terrestre, la fusion du magma résulte principalement de la transformation de l’uranium et du thorium. Ces réactions nucléaires libèrent un rayonnement gamma γ qui fusent à travers les discontinuités du sous-sol que sont les failles et les veines d’eau souterraines. En géobiologie, nous allons donc chercher à détecter et à éviter ces radiations puisque rappelons le, 22 cm de plomb sont nécessaires pour stopper ce rayonnement gamma γ… Invisible, inodore et destructeur, il arrache des électrons à nos cellules, responsables de la multiplication des radicaux libres dans notre organisme. Si l’agression persiste, les protéines de restauration sont débordées, les radicaux libres prolifèrent et le cancer s’installe. Le rayonnement gamma est la perturbation terrestre la plus délétère pour les êtres vivants.